mercredi 30 novembre 2011
dimanche 27 novembre 2011
L1 - CLASSICO - J15 - OM/PSG ( 26/11/2011 )
onze de départ probable :
Gardien : Mandanda (c)
Défenseurs : Azpilicueta, Diawara, Nkoulou, Morel
Milieux de terrain : Diarra, Cheyrou - Amalfitano - A. Ayew
Attaquants : Rémy, Lucho
Remplaçants : Bracigliano, Kaboré, Sabo, Mbia, Traoré, Valbuena, J. Ayew, Omrani
Absents : Fanni (orteil), Gignac (exclu du groupe), Andrade, Gadi (choix)
Gardien : Sirigu
Défenseurs : Ceara, Bisevac, Sakho (c), Armand
Milieux de terrain : Sissoko, Matuidi - Pastore
Attaquants : Menez, Gameiro, Nenê
Remplaçants : Douchez, Lugano, Camara, Jallet, Bodmer, Erding, Bahebeck
Absents : Hoarau (épaule), Tiéné (hanche), Chantôme (CFA)
Communiqué OM/PSG : Le silence comme seul moyen d’expression
D’emblée, nous tenons à préciser que le présent communiqué et l’action de dimanche n’ont aucun lien avec les résultats sportifs ou nos relations avec le club. Pour la réception du Psg, aucune animation ne sera organisée et aucun chant ne sera lancé depuis notre Virage Sud pour protester contre l’interdiction faite aux supporters de suivre leur équipe lors des déplacements à Marseille pour les parisiens et à Paris pour les Marseillais. Cependant, supporters avant tout, malgré notre silence, nous serons évidemment derrière notre équipe, ses dirigeants et ses joueurs, avec le cœur mais sans la voix...
Nous voulons marquer encore une fois notre incompréhension et notre désaccord face à des décisions vexatoires et punitives. Cette année encore, les supporters parisiens et marseillais se voient interdits de déplacement comme c’est le cas depuis trois ans. Sous des prétextes fallacieux : sécurité liée aux travaux du stade à Marseille, élection présidentielle rendant impossible le déplacement des marseillais (de qui se moque-t-on ?!). L’interdiction de déplacement est encore une fois apparue comme la solution de facilité.
Aucune discussion, aucune table ronde, aucune démarche pour essayer de proposer et trouver un compromis, les supporters, avec qui on ne discute décidément pas, sont encore punis sans avoir commis de faute. Nos associations, qui à chaque match assurent l’animation de nos tribunes, sont ainsi totalement ignorées, leur travail piétiné et on ne leur reconnait même pas le droit d’être considérées comme des interlocuteurs. Responsables ou simples membres sont d’emblée assimilés à de dangereux énergumènes ne pouvant circuler librement.
Nous ne trouverons personne pour s’émouvoir du peu de cas qui nous est fait. Pas plus les instances du football qui nous considèrent comme des boulets, que les télévisions, nouveaux patrons du football, qui mettront un fond sonore pour donner un semblant d’ambiance, ou encore que les journalistes qui, qu’ils soient parisiens ou marseillais et à l’abri dans leur loge champagne à la main (l’alcool n’est pas interdit pour tout le monde), se permettent de nous juger sans jamais avoir mis les pieds ni dans nos tribunes ni dans nos locaux.
Nous continuons d’affirmer que sans supporters le football et ses stades seraient sans âme. Par là, nous dénonçons le dictat des bien-pensants qui rêvent de stades sans vie. Aux vrais marseillais, aux amoureux du foot, nous assurons que c’est la mort dans l’âme que nous ne participerons pas à la fête. Aux donneurs de leçons et aux pères fouettards, nous voulons montrer que nous ne sommes pas prêts à tout accepter.
Notre soi-disant sécurité contre notre liberté, le politiquement correct et la répression en réponse à notre liberté d’expression… Aujourd’hui, face à la dérive sécuritaire et démagogique du football qui voudrait que tous les supporters soient des hooligans, notre silence devient notre seul moyen d’expression. Cela nous le déplorons, non pas comme supporters mais comme simples citoyens.
Réduits au silence, nous n’en restons pas moins combatifs et décidés à ne pas abandonner notre passion.
Réduits au silence, nous n’en restons pas moins combatifs et décidés à ne pas abandonner notre passion.
ALLEZ L’OM !
South Winners – Commando Ultra
L1 - CLASSICO - J15 - OM/PSG 26/11/2011: supporters
Comme l’année dernière, supporters parisiens et marseillais regarderont les chocs à l’extérieur, entre l’OM et le PSG, depuis les bars de leur ville respective. Et comme en 2010, la décision est venue directement du ministère de l’intérieur. La Ligue et les pouvoirs publics se défaussent et les supporters s’estiment, encore une fois, lésés...
L’embargo est définitivement tombé le 10 novembre dernier, annoncée d’abord par Antoine Boutonnet, chef de la division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH), puis justifié par un communiqué du ministère de l’intérieur : « Cette décision est motivée par les risques réels de troubles à l’ordre public, les incidents dramatiques de fin 2009 et début 2010 qui avaient entouré les rencontres entre ces deux équipes étant encore très présents dans les esprits », surtout qu’en 2010, les supporters marseillais n’étaient pas à Paris… Mais les rumeurs persistantes, tout au long du mois d’octobre, d’un remake des interdictions de l’année dernière, ne laissaient guère espérer une autre issue. Pouvoirs publics et LFP se sont renvoyé la balle pour finalement choisir la solution de facilité, sans prendre la peine d’associer les supporters aux discussions. L’OM comme le PSG « prennent acte » d’une décision pour laquelle ils n’ont, de toute façon, pas tellement le choix. Mais si le club de la capitale n’entretient pas de bonnes relations avec ses supporters en déplacement, les Phocéens en meilleurs termes avec leurs ultras « regrettent vivement qu’il faille attendre une année de plus pour remonter à Paris avec [leurs] supporters ». Et d’ajouter qu’ils mettront tout en œuvre pour que ce soit la dernière fois. Pendant ce temps les ultras parisiens ont réservé les bars dans lesquels ils se retrouveront dimanche soir.
Niçois, Stéphanois, Grecs de l’Olympiakos mais pas de Parisiens
« Je croyais pourtant que le problème de la violence était réglé au Parc des Princes, alors pourquoi on interdit le déplacement des supporters parisiens à Marseille ? » s’étonne, un brin ironique, un ancien leader des Lutece Falco. « On nous fait la leçon partout dans les médias pour dire que le Parc des Princes est désormais assagi, et pourtant, on ne peut pas accueillir son public ? », renchérit Franck Peyronel, un des responsables des South Winners. Les pouvoirs publics, eux, se retranchent derrière les travaux actuels du Vélodrome, alléguant des problèmes de sécurité. Un argument qui fait sourire les supporters marseillais : « On peut accueillir les Niçois, les Stéphanois, plus de 1000 mecs de Dortmund, et les Grecs de l’Olympiakos avec qui on n’est pas du tout amis, mais pas quelques centaines de Parisiens », raille Franck Peyronel. D’autant que les ultras de la Gate 7 de l’Olympiakos, qui garnissaient le parcage mercredi soir, sont loin d’être des enfants de chœur. Selon Jérémy Laroche, responsable du collectif Liberté pour les abonnés (LPA), regroupant d’anciens membres d’Auteuil et de Boulogne, « la ligue et les pouvoirs publics ont clairement peur d’avoir la responsabilité de la moindre chose. Je suis curieux de voir comment ils vont gérer l’Euro 2016 avec des supporters de toute l’Europe, potentiellement dangereux ! ».
« Le silence comme seul moyen d’expression »
Face à une mesure jugée « vexatoire et punitive », le Commando Ultra et les South Winners, groupes marseillais du virage Sud, ont décidé de réagir et d’opposer leur silence lors d’une rencontre qui vaut au moins autant (sinon souvent plus) pour le spectacle en tribune que pour le terrain. « On sera dans le stade mais on fera pas ce qu’on attend de nous, pas d’animations, pas de chants, explique un responsable du Commando Ultras, cette rencontre alimente beaucoup le business et à côté de ça on veut plus nous voir. Notre seul moyen de défense c’est de nous taire, nos chants seront à l’image de nos libertés dans les stades !» Les supporters marseillais veulent faire de ce match le symbole de la lutte contre la répression. Et attirer l’attention sur la stigmatisation des supporters « alors que sans nous le football et ses stades seraient sans âme ». Le défaut des autorités et la justification apportée passent mal. «Ne pas avoir la liberté de se déplacer comme on veut et être considéré comme une personne foncièrement mauvaise, je trouve ça très triste », déplore Jérémy Laroche. Normalement seul le code de la route restreint la liberté de circulation
L’embargo est définitivement tombé le 10 novembre dernier, annoncée d’abord par Antoine Boutonnet, chef de la division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH), puis justifié par un communiqué du ministère de l’intérieur : « Cette décision est motivée par les risques réels de troubles à l’ordre public, les incidents dramatiques de fin 2009 et début 2010 qui avaient entouré les rencontres entre ces deux équipes étant encore très présents dans les esprits », surtout qu’en 2010, les supporters marseillais n’étaient pas à Paris… Mais les rumeurs persistantes, tout au long du mois d’octobre, d’un remake des interdictions de l’année dernière, ne laissaient guère espérer une autre issue. Pouvoirs publics et LFP se sont renvoyé la balle pour finalement choisir la solution de facilité, sans prendre la peine d’associer les supporters aux discussions. L’OM comme le PSG « prennent acte » d’une décision pour laquelle ils n’ont, de toute façon, pas tellement le choix. Mais si le club de la capitale n’entretient pas de bonnes relations avec ses supporters en déplacement, les Phocéens en meilleurs termes avec leurs ultras « regrettent vivement qu’il faille attendre une année de plus pour remonter à Paris avec [leurs] supporters ». Et d’ajouter qu’ils mettront tout en œuvre pour que ce soit la dernière fois. Pendant ce temps les ultras parisiens ont réservé les bars dans lesquels ils se retrouveront dimanche soir.
Niçois, Stéphanois, Grecs de l’Olympiakos mais pas de Parisiens
« Je croyais pourtant que le problème de la violence était réglé au Parc des Princes, alors pourquoi on interdit le déplacement des supporters parisiens à Marseille ? » s’étonne, un brin ironique, un ancien leader des Lutece Falco. « On nous fait la leçon partout dans les médias pour dire que le Parc des Princes est désormais assagi, et pourtant, on ne peut pas accueillir son public ? », renchérit Franck Peyronel, un des responsables des South Winners. Les pouvoirs publics, eux, se retranchent derrière les travaux actuels du Vélodrome, alléguant des problèmes de sécurité. Un argument qui fait sourire les supporters marseillais : « On peut accueillir les Niçois, les Stéphanois, plus de 1000 mecs de Dortmund, et les Grecs de l’Olympiakos avec qui on n’est pas du tout amis, mais pas quelques centaines de Parisiens », raille Franck Peyronel. D’autant que les ultras de la Gate 7 de l’Olympiakos, qui garnissaient le parcage mercredi soir, sont loin d’être des enfants de chœur. Selon Jérémy Laroche, responsable du collectif Liberté pour les abonnés (LPA), regroupant d’anciens membres d’Auteuil et de Boulogne, « la ligue et les pouvoirs publics ont clairement peur d’avoir la responsabilité de la moindre chose. Je suis curieux de voir comment ils vont gérer l’Euro 2016 avec des supporters de toute l’Europe, potentiellement dangereux ! ».
« Le silence comme seul moyen d’expression »
Face à une mesure jugée « vexatoire et punitive », le Commando Ultra et les South Winners, groupes marseillais du virage Sud, ont décidé de réagir et d’opposer leur silence lors d’une rencontre qui vaut au moins autant (sinon souvent plus) pour le spectacle en tribune que pour le terrain. « On sera dans le stade mais on fera pas ce qu’on attend de nous, pas d’animations, pas de chants, explique un responsable du Commando Ultras, cette rencontre alimente beaucoup le business et à côté de ça on veut plus nous voir. Notre seul moyen de défense c’est de nous taire, nos chants seront à l’image de nos libertés dans les stades !» Les supporters marseillais veulent faire de ce match le symbole de la lutte contre la répression. Et attirer l’attention sur la stigmatisation des supporters « alors que sans nous le football et ses stades seraient sans âme ». Le défaut des autorités et la justification apportée passent mal. «Ne pas avoir la liberté de se déplacer comme on veut et être considéré comme une personne foncièrement mauvaise, je trouve ça très triste », déplore Jérémy Laroche. Normalement seul le code de la route restreint la liberté de circulation
samedi 26 novembre 2011
vendredi 25 novembre 2011
jeudi 24 novembre 2011
dimanche 20 novembre 2011
samedi 19 novembre 2011
LE PLUS BEAU BUT DE L’ANNÉE EN MLS
Aux Etats-Unis aussi les buteurs son récompensés. Le championnat se termine le 20 novembre et en attendant, les trophées sont décernés. Celui du plus beau but est attribué à Darlington Nagbe, le milieu offensif de Portland (match contre kansas city). Un but qui a recueilli 42% des votes.
dimanche 13 novembre 2011
RAP & FOOT (Photos)
BLACK M en concert Parc des Princes
MOKOBE et MESSI
RIM-K et ERDING
SINIK (maillot Algérie)
NENE et SNOOP
MANDANDA et SOPRANO
ETO'O , JAMEL et LA FOUINE
EDEN HAZARD (tee-shirt Mister You)
CHAMAKH
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