Deux ans après l'affrontement de 2009, la Bosnie et le Portugal se retrouvent à nouveau, pour une revanche plus que jamais serrée, disputée et violente. Ça va saigner. Âmes sensibles, s'abstenir...
Milieu hostile ou pas, à Zenica, Lisbonne ou même Vladivostok, la question du favori ne se pose pas : les Lusitaniens restent au dessus de la meute. Leonardo Jardim, jeune coach de Braga en est persuadé: « Le Portugal est l’une des meilleures équipes du monde, avec l’un des meilleurs classements Fifa et des grands joueurs. On part favoris, mais ça ne sera pas facile. » La tâche s’annonce même compliquée pour CR7& co, certainement plus qu’en 2009, où ils avaient battu deux fois la Bosnie par 1 but à 0. Car aujourd’hui, le temps de l’insouciance est révolu pour les hommes de Safet Susic, précisément depuis que l’ancienne gloire du PSG a posé son cul sur le trône de sélectionneur. La sélection bosnienne joue mieux, attaque sans foncer dans le lard et surtout défend bien. En dix matchs de poule, la Bosnie a pris huit pions pour 17 inscrits. Une progression « logique » pour Jardim qui explique par « le départ de quelques joueurs pour des grands championnats européens. Surtout Dzeko qui est à Manchester Citymaintenant. » Mieux armés qu’il y a deux ans où ils étaient passés à deux doigts d’écrire une page heureuse de leur histoire foutrement fade, les locaux sont plus que jamais en mesure de plomber la Selecçao das Quinas...
Milieu hostile ou pas, à Zenica, Lisbonne ou même Vladivostok, la question du favori ne se pose pas : les Lusitaniens restent au dessus de la meute. Leonardo Jardim, jeune coach de Braga en est persuadé: « Le Portugal est l’une des meilleures équipes du monde, avec l’un des meilleurs classements Fifa et des grands joueurs. On part favoris, mais ça ne sera pas facile. » La tâche s’annonce même compliquée pour CR7& co, certainement plus qu’en 2009, où ils avaient battu deux fois la Bosnie par 1 but à 0. Car aujourd’hui, le temps de l’insouciance est révolu pour les hommes de Safet Susic, précisément depuis que l’ancienne gloire du PSG a posé son cul sur le trône de sélectionneur. La sélection bosnienne joue mieux, attaque sans foncer dans le lard et surtout défend bien. En dix matchs de poule, la Bosnie a pris huit pions pour 17 inscrits. Une progression « logique » pour Jardim qui explique par « le départ de quelques joueurs pour des grands championnats européens. Surtout Dzeko qui est à Manchester Citymaintenant. » Mieux armés qu’il y a deux ans où ils étaient passés à deux doigts d’écrire une page heureuse de leur histoire foutrement fade, les locaux sont plus que jamais en mesure de plomber la Selecçao das Quinas...
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