Qui pour remplacer Kombouaré ?
Antoine Kombouaré, qui a décroché le titre honorifique de Champion d’automne, a été évincé par les dirigeants du PSG. La grande question que tout le monde se pose, désormais : qui va oser poser ses fesses sur un banc si brûlant?
Luis Fernandez
Probabilité : 10%
Au bout de huit années à faire semblant, entre le Stade de Reims, Al-Rayyan et l’équipe d’Israël, Luis Fernandez se rend à l’évidence. Son seul véritable amour, c’est le PSG. Leonardo, qui aime bien les histoires d’amour et de trahison, appelle donc l’ancien chouchou du Parc. Luis décline, pas question de quitter Luis Attaque sur RMC. Leo revient et rajoute quelques zéros sur le chèque. Luis accepte. « Le Kanak attaque», ce serait un super titre d’émission de remplacement, se dit-il alors, pour ne pas culpabiliser. Luis débarque aux Camp des Loges le lendemain de Noël, ordonne que tous les joueurs rentrent, et offre gentiment une Chupa Chups à Pastore pour son premier jour. Le PSG n’est pas sacré champion, mais, au moins, l’équipe met ses couilles sur la pelouse et gagne le Clasico. Bah quoi, ce n’est pas ça que les supporters voulaient ?
Vahid Halilodzic
Probabilité : 32%
Il y a quatre jours, Coach Vahid a torpillé Leonardo par déclarations interposées. « S’il veut se retrouver en première ligne comme il le fait devant les médias, qu’il prenne l’équipe lui-même. Le problème à Paris, c’est que tout le monde veut le pouvoir sans les responsabilités. Si Paris échoue, ce sera son échec » assure-t-il dans L’Equipe. Pan. Dans la cour d’école, on appelle ça la technique de la psychologue inversée. «Je te fais un croche pate mais en fait je suis amoureux de toi ». Et le pire, c’est que ça marche. Intrigué par la violence des propos du coach, Leonardo appelle Vahid, et lui propose de venir entraîneur le PSG en même temps que son boulot de sélectionneur de l’Algérie. L’ancien technicien du LOSC propose de ramener avec lui Abdelkader Ghezzal. Bon, bah, les Qataris déclinent cette dernière offre. Par contre, ils veulent bien Feghouli.
Guus Hiddink
Probabilité : 25%
Après son échec avec l’équipe de Turquie, Guus Hiddink observe. Il regarde même la Ligue 1, et s’est tapé quelques matches du haut de tableau, et a été séduit par des PSG-Lille, OM-Bordeaux, Lorient-Toulouse, Toulouse-OM et autres Nancy-Auxerre. Convaincu par le projet parisien, le coach néerlandais débarque avec une envie majeure : imposer le minimalisme et l’austérité. Fini les casques Beats by Dregéants et les crêtes raton-laveur. Avec Hiddink, ça file au pas. Le PSG gagne tous ses matches 1-0, arrache quelques 0-0 à l’extérieur, termine meilleure défense du championnat et est sacré champion de France. Derrière, il reprend le PSV Eindhoven et gagne une seconde fois la Ligue des Champions, 24 ans après. Dommage pour le PSG, la Coupe des Coupes n’existe plus.
Antoine Kombouaré, qui a décroché le titre honorifique de Champion d’automne, a été évincé par les dirigeants du PSG. La grande question que tout le monde se pose, désormais : qui va oser poser ses fesses sur un banc si brûlant?
Carlo Ancelotti Probabilité : 70%
On ne va pas se mentir. L’accord est conclu depuis plusieurs mois déjà. Dès que les Qataris sont arrivés à la tête du club, Leonardo est entré en contact avec le beau Carlo, et s’est mis d’accord avec lui. Histoire de ne pas faire le salaud, Leo laisse quatre mois de compétition à Antoine. «Comme ça, à la trêve, je profiterai de la troisième position du PSG pour le virer ». Manque de bol, Paris est premier. Mais Leo tient ses engagements. Ancelotti, qui vit reclus dans une chambre d’hôtel à Saint-Germain des Prés depuis plusieurs semaines, sort de sa cachette avec une énorme barbe. Premier jour d’entraînement, Bisevac fait une relance dégueulasse dans l’axe. « Ecoute, Milan, je vais t’apprendre à faire honneur à ton prénom. Le ballon, tu le contrôles, tu le poses, et tu fais une passe. Comme Maldini. Comme Costacurta. Comme Nesta ». L’italien devient la nouvelle langue officielle du club. Sauf pour Sirigu, qui continue à parler en français. Ancelotti pourrait être accompagné d'un adjoint inattendu, Sabri Lamouchi. En effet l'ex Auxerrois, qui a déjà évolué au Qatar et parle italien, présente un profil qui plaît à la fois à Leonardo et à Nasser el Khelaifi.
Luis Fernandez
Probabilité : 10%
Au bout de huit années à faire semblant, entre le Stade de Reims, Al-Rayyan et l’équipe d’Israël, Luis Fernandez se rend à l’évidence. Son seul véritable amour, c’est le PSG. Leonardo, qui aime bien les histoires d’amour et de trahison, appelle donc l’ancien chouchou du Parc. Luis décline, pas question de quitter Luis Attaque sur RMC. Leo revient et rajoute quelques zéros sur le chèque. Luis accepte. « Le Kanak attaque», ce serait un super titre d’émission de remplacement, se dit-il alors, pour ne pas culpabiliser. Luis débarque aux Camp des Loges le lendemain de Noël, ordonne que tous les joueurs rentrent, et offre gentiment une Chupa Chups à Pastore pour son premier jour. Le PSG n’est pas sacré champion, mais, au moins, l’équipe met ses couilles sur la pelouse et gagne le Clasico. Bah quoi, ce n’est pas ça que les supporters voulaient ?
Vahid Halilodzic
Probabilité : 32%
Il y a quatre jours, Coach Vahid a torpillé Leonardo par déclarations interposées. « S’il veut se retrouver en première ligne comme il le fait devant les médias, qu’il prenne l’équipe lui-même. Le problème à Paris, c’est que tout le monde veut le pouvoir sans les responsabilités. Si Paris échoue, ce sera son échec » assure-t-il dans L’Equipe. Pan. Dans la cour d’école, on appelle ça la technique de la psychologue inversée. «Je te fais un croche pate mais en fait je suis amoureux de toi ». Et le pire, c’est que ça marche. Intrigué par la violence des propos du coach, Leonardo appelle Vahid, et lui propose de venir entraîneur le PSG en même temps que son boulot de sélectionneur de l’Algérie. L’ancien technicien du LOSC propose de ramener avec lui Abdelkader Ghezzal. Bon, bah, les Qataris déclinent cette dernière offre. Par contre, ils veulent bien Feghouli.
Guus Hiddink
Probabilité : 25%
Après son échec avec l’équipe de Turquie, Guus Hiddink observe. Il regarde même la Ligue 1, et s’est tapé quelques matches du haut de tableau, et a été séduit par des PSG-Lille, OM-Bordeaux, Lorient-Toulouse, Toulouse-OM et autres Nancy-Auxerre. Convaincu par le projet parisien, le coach néerlandais débarque avec une envie majeure : imposer le minimalisme et l’austérité. Fini les casques Beats by Dregéants et les crêtes raton-laveur. Avec Hiddink, ça file au pas. Le PSG gagne tous ses matches 1-0, arrache quelques 0-0 à l’extérieur, termine meilleure défense du championnat et est sacré champion de France. Derrière, il reprend le PSV Eindhoven et gagne une seconde fois la Ligue des Champions, 24 ans après. Dommage pour le PSG, la Coupe des Coupes n’existe plus.
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